Ajouter un commentaire

• E.BENEITO - Vendredi 15 Mai 2009 08:46

  M.BENAMAR a raison : le BENGALI était bien le café de ma tante Angèle et de mon oncle Alexandre NAVARRO en descendant de la place Gambetta vers la rue d'Oran au coin en bas la boulangerie MASSE. Le ZANZI bar était le café de mon oncle,BENEITO le frére de mon pére à côté du monument aux mort des cars GRANDONA qui assuraient la la ligne de SIDI BEL ABBES. Sur la photo à l'emplacement des tôles il y avait le magasin BISCUIT le roi des beignets etc.

• Bénamar - Mercredi 13 Mai 2009 23:21

  Je rectifie le tir de Monsieur Bernard AZOULAY ( je connais parfaitement Gérard AZOULAY, époux d'Arlette TOBELEM Fille de Sam, Grossiste en épicerie) : Les NAVARRO, Alexandre et Angèle son épouse tenaient un bar appelé le Bengali situé près de la place Gambetta, en face du magasin de Monsieur GENOVA, et non pas le Zanzibar géré par Monsieur BENEITO situé près des transports GRANDONNA .

• Benamar - Lundi 5 Mars 2007 22:07

  Le Zanzi bar actuellement fermé pour travaux était situé face à la station de taxi mitoyenne au petit jardin de l'église et à la station des cars Grandonna qui desservaient la ligne Mascara Sidi Belabbès.

• andré Leverone - Lundi 5 Mars 2007 19:41

  Le Zanzi bar etait situé sur le coté gauche du monument aux morts et a droite de l'eglise la rue menait a la sinagogue, le proprietaire du bar s'appelait Beneito.

• Bernard azoulay - Mardi 3 Janvier 2006 14:13

  Le cyrnos se nommait aussi le bar américain tenu par Mr Narboni
  Le Zanzi bar était rue Duquesne en déscendant de la place gambetta vers la rue d'oran et appartenait à mr Navarro beau père de Gaby Ruiz de l"AGSM

• mokhtar Meddeber - Mercredi 2 Novembre 2005 20:22

  c'est juste ,Robert . La Boulangerie Menu fait partie de l'immeuble des Meddeber ainsi que l'epicerie Bergeron .

• Robert MICHEL - Mercredi 2 Novembre 2005 10:02

  VOYONS Marie.A .La boulangerie Menu se trouvait à coté de l'épicerie Bergeron juste au coin de la rue de Dublineau et en face de chez Marceau Gilabert.Ex Santenero je crois.

• Robert Michel - Mercredi 2 Novembre 2005 07:30

  Pardon Marie Antoinette,J'en mangeais tellement du pain frais chez toi quand je participais à son élaboration avec ce bon jean louis.

• MA Cano - Mardi 1 Novembre 2005 19:23

  vous êtes là tous à parler de ceci de celà et personne ne se rappelle que c'était Ma place Foch où je suis née et où j'ai vécu 20 ans. Et le m:archand de brochette c'était Bénaïssa et maintenant à la place de Domarco le plombier le petit fils de Bénaïssa tient un bar. Comment Robert ton pain frais tu ne l'achetais pas chez Franco-Cano c'était qui d'abord Menu

• Robert MICHEL - Mardi 1 Novembre 2005 17:24

  Et ces beignets imprégnés de sucre ,que j'allais chercher le dimanche matin et au retour le pain frais de la boulangerie MENU.

• Robert NAVARRO - Vendredi 28 Octobre 2005 14:48

  Et qui se souvient des bonnes brochettes " MELFOUFFES" et des rates farcies, surtout le Dimanche, alors que les calèches attendaient le long du trottoir ?

• Angeline Bellet - Lundi 17 Octobre 2005 20:12

  Excuses moi, Robert, c' est bien ce que je voulais dire, le magasin Nakam à gauche,( où je travaillais pendant les vacances scolaires)., et la mosquée à droite

• Robert MICHEL - Lundi 17 Octobre 2005 13:47

  Tu dois faire érreur Angeline.NAKAM,se trouvait à gauche juste aprés la rue du 4 Septembre et la Mosquée (Passage kAPLER )à droite toujours en remontant la rue que tu cites .

• Angeline Bellet - Lundi 17 Octobre 2005 10:48

  A l' emplacement des toles sur la gauche de la photo, je pense que c'était la minuscule boutique du marchand de beignets. Cette même rue menait à la place de l' église, en passant devant le magasin Nakam à droite, et la mosquée à gauche. La rue de droite allait vers le marché et la place Gambetta.

• Robert MICHEL - Lundi 17 Octobre 2005 09:14

  Si je me souviens bien le nom de ce bar était "CYRNOS BAR" et en montant la rue à droite,sur le trottoir de gauche , le"ZANZI BAR" juste au coin du batiment ou était le bar,sous la fenetre à droite du panneau,il y avait une boite aux lettres ou je postais les lettres que ma mére écrivait à mon pére dans les années 52 à 54 quand ce dérnier était en Indochine.